J’ai rencontré Fabrice Zaady Sullivan grâce à un ami, David Laplaud, lors d’un défilé au VIP Room. Ce jour-là, quelque chose s’est passé. Une énergie, une évidence. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés.
J’ai assisté à chacun de ses défilés, j’ai vu naître et grandir sa marque ZAADY, j’ai suivi son évolution, ses prises de risque, son style si personnel — toujours exigeant, toujours sincère.
Fabrice est un créateur visionnaire, l’un des stylistes contemporains les plus conceptuels de sa génération.
Mais c’est aussi un homme rare, doté d’une humanité profonde et d’une énergie communicative.
Un jour, j’ai décidé de lui organiser un défilé chez Bentley.
Un événement que j’ai porté avec fierté — jusque dans le texte que j’ai écrit moi-même.
Ce fut une réussite éclatante, et un vrai moment de bascule.
Et puis, il y a eu nos folies partagées, comme ce faux mariage à Ibiza, célébré avec tout le cérémonial… comme si c’était vrai. Un moment de joie pure, d’imaginaire et de tendresse.
Quand il m’a parlé de son association Zaady Fashion Art, j’ai immédiatement accepté de le suivre.
Parce que je crois aux jeunes créateurs, et parce que je sais qu’ils ont besoin d’être soutenus, encouragés, visibles.
S’il existait un moyen pour moi de contribuer à ça, alors je dis oui sans hésiter.
Depuis, je le suis régulièrement, et je réponds toujours présente lorsqu’il m’appelle.
Et puis est venu le projet fort : la Fashion Week à Abidjan.
Un nouveau cap, un rêve à deux voix.
Et une fois de plus, j’ai dit oui.
Parce que je crois en lui.
Parce que je crois en son art.
Parce que je crois en l’avenir de la mode africaine, et aux ponts qu’on peut bâtir ensemble.
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🎤 “Fabrice ne fait pas que créer des vêtements.
Il tisse des liens. Il construit des visions.
Et j’ai choisi de faire partie de la sienne.”
